mardi 23 janvier 2018

Bonjour à tous, est-il trop tard pour vous souhaiter une bonne année 2018?  Pas dans le monde des cryptomonnaies. Il y a eu beaucoup de mouvement en 2017 et ça devrait continuer en 2018.  Il y a une ouverture qui se fait et ce sera positif pour tous les adeptes de crypto.

Plusieurs nouveaux arrivant dans ce monde virtuel et beaucoup de questions sont posées.  Je vous invite à livre mon lire "La cryptomonnaie, une monnaie libre" disponible sur amazon en format papier et numérique.  



Rivemont lance le premier fonds de cryptomonnaies québécois

Les investissements Rivemont lancent le fonds Rivemont Crypto, le premier fonds spécialisé dans les cryptomonnaies au Québec. La firme de gestion de portefeuille espère ainsi faire profiter de l’essor sans précédent des cryptomonnaies aux investisseurs qualifiés.
« C'est très important pour nous d'être à la fine pointe de la technologie ou de la dernière tendance. Donc, on lance le fonds de cryptomonnaie et prochainement un fonds de micro-capitalisation (Rivemont microcap). Notre but, c'est de se créer une niche dans le domaine alternatif », déclare Martin Lalonde, président chez Les Investissements Rivemont.
Depuis six à huit mois, Rivemont travaille à la création du fonds Rivemont Crypto, un fonds réservé aux investisseurs qualifiés. Martin Lalonde explique que les nombreuses demandes des clients désirant investir dans les cryptomonnaies ont motivé leurs démarches.
Lorsqu'une « connaissance très calée dans le domaine » les a approchés pour investir de l'argent dans ce genre de monnaie, Rivemont a décidé de l'embaucher pour devenir l'analyste principal de Rivemont Crypto, déclenchant ainsi le long processus de création du fonds.
« Ça a été difficile au départ. Le plus difficile, ce fut de trouver des partenaires. Personne n'avait d'expérience dans ce type de fonds. Concernant la régulation et l'Autorité des Marchés Financiers (AMF), il y avait beaucoup de restrictions importantes par rapport à ce type de produits. Comme nous sommes les premiers au Québec à avoir reçu une autorisation de l'AMF, leurs exigences étaient assez élevées, notamment en ce qui a trait à la garde d'actifs », explique Martin Lalonde.
La valeur du fonds
Le capital de base est évalué à un peu plus de 5 millions de dollars (M$) et Rivemont croit pouvoir facilement atteindre 10 M$ dans les trois premiers mois. Martin Lalonde explique que les investisseurs semblent très intéressés par le nouveau fonds et que les appels de clients « sont constants » depuis les premiers jours du lancement. C'est aussi le cas de conseillers et de firmes de gestion de portefeuille, ce qui le conforte dans la capacité de Rivemont à atteindre ses objectifs en matière d'actifs bien plus rapidement que prévu.
« Notre prochain défi ça va être d'être accepté sur les plateformes des détaillants. Pour l'instant, le fonds est proposé par notice d'offre et non par prospectus, car c'était la façon la plus rapide de lancer le fonds. »
Pour accélérer la création de leur fonds de cryptomonnaie, Rivemont a décidé de commencer par investir dans les « futures » du Bitcoin, qui sont échangées sur les marchés via le Chicago Board Options Exchange (CBOE) et le Chicago Mercantile Exchange (CME). Mais elle prévoit déjà d'autres étapes pour le développement du fonds à plus ou moins longs termes.
L'étape suivante sera d'ajouter directement deux cryptomonnaies à leurs fonds, soit le Bitcoin et l'Ethereum. La troisième étape prévue pour début 2018, est conditionnelle à l'approbation préalable. Il s'agira d'ajouter d'autres cryptomonnaies figurant dans le top 10 en matière de capitalisation sur l'ensemble du marché, par exemple le Ripple ou le Litecoin.
Lorsque l'industrie offrira des solutions institutionnelles et sécuritaires, Rivemont aimerait inclure à son nouveau fonds plusieurs altcoins émergents avec de fortes bases fondamentales, offrir une possibilité d'investissement dans les ICOs (Initial Coin Offering), une procédure semblable aux IPOs sur le marché boursier, permettre d'investir dans les tokens, des cryptomonnaies ne visant pas le marché financier et offrir une possibilité d'arbitrage afin de profiter des écarts chez les différents courtiers utilisés.
Les risques
Le niveau de risque du fonds Rivemont Crypto étant très élevé, « il est donc évident que les clients ne devraient pas y dédier une trop grande partie de leur portefeuille », prévient le président des Investissements Rivemont.
« Au niveau de la valeur, nous sommes conscients que dans le passé le bitcoin est passé de 1000 $ à 70 $ environ, donc c'est certain que les clients qui vont investir dans ce type de produits doivent être à l'aise avec l'extrême volatilité. Mais on pense que la valeur des cryptomonnaies va continuer à augmenter, sinon on ne lancerait pas le fonds. On estime qu'on est au début d'un marché qui durera encore au minimum deux ans », affirme Martin Lalonde.
Les craintes de l'industrie face au Bitcoin
Le milieu de la finance se méfie des systèmes de paiement qui utilisent la technologie de la blockchain, a affirmé le gouverneur de la banque du Canada, Stephen S. Poloz, lors d'un discours devant le Canadian Club à Toronto le 14 décembre.
Plus précisément, Stephen S. Poloz a dit s'inquiéter de tout le battage entourant les cryptomonnaies. « Acheter ces instruments, c'est acquérir des risques, ce qui revient à dire qu'investir dans ces instruments s'apparente davantage à un jeu d'argent », a-t-il expliqué. Selon lui, ces instruments et leurs marchés n'entrent pas dans le périmètre de supervision de la Banque du Canada. Il a toutefois tenu à souligner que cette monnaie ne reposait sur aucune liquidité et qu'en cas de cyberattaque, les liquidités permettraient que la situation revienne à la normale.
Une cyberattaque réussie contre une seule institution peut se transformer en cyberattaque réussie contre un grand nombre d'établissements, a précisé le gouverneur.
L'AMF y va aussi d'une mise en garde sur son site Internet contre les risques des cryptomonnaies, évoquant par exemple le fait qu'elles soient exposées au piratage informatique et au vol. Le régulateur rappelle aussi que ces monnaies « ne sont pas nécessairement réglementées ». Les bourses numériques peuvent exercer leurs activités sans se conformer aux lois applicables, surtout qu'elles peuvent être situées à l'extérieur du Canada ce qui rendrait difficile toute poursuite contre eux.

jeudi 14 décembre 2017

jeudi 14 décembre 2017


Que se passe-t-il avec Litecoin? (LTC)


Litecoin, longtemps considéré comme l’enfant pauvre du Bitcoin, renaît d’entre les morts depuis quelques temps. Sa progression en 2017 surpasse celle du BTC, avec une hausse de plus de 9000%. C’est toutefois depuis début décembre qu’il est en ascension fulgurante ayant passé de $100 a plus de $300 USD en quelques jours. Qu’est ce qui peut expliquer cette explosion?
  1. Le Lightning Network : Il frappe à la porte, le Bitcoin tente par tous les moyens d’améliorer sa vitesse de transactions et d’enrayer certains bugs. Ce network aidera non seulement Bitcoin, mais aussi Litecoin, qui feront aussi partie de ce network.
  2. Coinbase : En Novembre 2017, coinbase ajoutait 100 000 clients le jour suivant l’annonce du CME future. Coinbase échange le BTC, LTC et ETH, et c’est principalement sur ce site que les gens dépose du USD avec leur carte de crédit. Le BTC ayant déjà explosé paraboliquement en novembre, ceux-ci se tourne vers le Litecoin et l’Éthereum, tellement, que Coinbase ont annoncé hier ne plus permettre les échanges de Litecoin et d’Éthereum puisqu’il ne sont pas capable de supporter le trop gros volume de transactions.
  3. La présence de Charlie Lee, fondateur du Litecoin, dans les médias. Mr. Lee a fait la tournée des médias en décembre. Son travail marketing est enclenché, et probablement qu’il ira en grandissant plus proche il sera du lancement du Lightning Network.
  4. Le buzz Coréen, tout ce que la Corée du Sud aime, ils aiment beaucoup. Ils sont experts pour augmenter de beaucoup la valeur d’un coin en peu de temps. Ils ont fait la même chose avec Ripple (XRP) hier. Ils sont, avec le Japon, les plus gros joueurs en Asie dans la planete crypto.
 - A surveillez cette semaine : La renaissance des coins asiatiques (NEO, QTUM, OMG) pour ne nommer que ceux-là. Les chinois font tranquillement leur retour, à suivre attentivement !

lundi 4 décembre 2017

Lundi 4 décembre 2017

Ça fait un petit bout de temps que je n'aie pas partager d'article avec vous, et c'est parce que je travaille à transformer mon livre en format numérique et en format audio.  Le format numérique a été complété et je vous transmets le liens ici:

https://www.amazon.com/cryptomonnaie-une-monnaie-libre-lhistoire-ebook/dp/B077VR5R14/ref=la_B074QRQ92G_1_1_twi_kin_2?s=books&ie=UTF8&qid=1512439574&sr=1-1





Ottawa va réglementer les cryptomonnaies

Le ministère des Finances prépare de nouvelles obligations entourant le commerce de devises virtuelles.

L’évasion fiscale, le soutien d’activités terroristes, les cybervols, la liste des préoccupations d’Ottawa semble imposante dès qu’on évoque le bitcoin. Les autorités s’y intéressent depuis longtemps, le gouvernement Harper avait déjà annoncé des modifications visant à renforcer l’encadrement légal en 2014. 

Mais l’emballement de ce marché non régulé pourrait accélérer les choses. Les devises numériques représentaient à l’époque moins de 10 milliards de dollars, alors qu’actuellement le bitcoin, l’ether et les centaines d’autres pèsent ensemble plus de 350 milliards $US.
Les Affaires a appris que le ministère des Finances entendait mieux se prémunir contre les risques posés par les technologies financières. Le cabinet Morneau prépare une nouvelle réglementation relative aux cryptomonnaies qui prévoit essentiellement l’application de règles utilisées contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.

«Des modifications à la Loi sur le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes ont été faites afin de faire des entités qui font le commerce de monnaie virtuelle des entreprises de services monétaires et de les soumettre aux règles», nous a indiqué Jocelyn Sweet, porte-parole du ministère.

Difficile par contre de connaître l’échéancier précis que s’est donné le gouvernement pour officialiser les mesures. Et la porte-parole n’a pas souhaité expliquer les implications que cela aurait pour les entreprises liées aux transactions de cryptomonnaies, les start-up ou même les commerçants les acceptant.
«Les règlements sont en cours de développement afin de définir l’activité de commercer, d’établir les obligations qui en découlent», a ponctué Jocelyn Sweet.

Il semblerait que les obligations porteront sur la vérification de l’identité des clients par tout intermédiaire financier, établis ou non au Canada, mais aussi sur le recensement des intervenants du commerce des monnaies virtuelles. Reste à savoir dans quelle mesure, si cela s’adresse uniquement aux bureaux de change, aux gestionnaires de portefeuilles numériques, aux investisseurs particuliers ou à tous.

Modèle européen?


Gardée floue par le cabinet Morneau, la démarche d’Ottawa pourrait suivre deux modèles: soit les recommandations émises en 2015 par le Comité sénatorial canadien des banques et du commerce, soit la logique récemment adoptée par le Royaume-Uni et d'autres gouvernements de l’Union européenne.

Le précédent rapport du Sénat proposait une approche «minimale afin de créer un environnement favorable à l'innovation dans ces domaines». L’idée était que les possibilités qu’offrent les monnaies numériques, les technologies et entreprises connexes surpassent les risques. À condition d’une réglementation «souple», les retombées pourraient alors être constructives pour les consommateurs ainsi que pour les entreprises.
À l’inverse, Londres et l’UE explorent des moyens pour durcir le réglementation. Le Trésor britannique prévoit de forcer les traders de devises numériques à révéler leur identité, tandis que le reste des décideurs européens attendent des plateformes d’échanges de faire preuve de diligence pour signaler les transactions suspectes, des règles devant entrer en vigueur dans les prochains mois, rapporte The Guardian.

Pour rappel, il avait été jugé bon de réévaluer la pertinence du cadre réglementaire canadien en la matière dans le courant 2018. La bulle du bitcoin pousserait-elle les autorités à revoir plus rapidement leur copie?

jeudi 23 novembre 2017

Voici une nouvelle absolument fantastique.  Et je suis toujours très heureuse de voir de jeunes entrepreneurs aller de l'avant avec un projet aussi audacieux avec un sujet aussi controversé.




Le Nouvelliste
Jeudi 23 novembre 2017

Fournisseurs payés en bitcoin

TROIS-RIVIÈRES — Léa Veillette, une jeune entrepreneure de Trois-Rivières, pourrait bien devenir la première au Québec et même au Canada à construire un triplex en payant presque exclusivement ses fournisseurs par le biais de bitcoins, une cryptomonnaie créée en 2009. En effet, la femme de 29 ans souhaite réaliser cet exploit, en plus de vendre son immeuble par l’entremise de cette populaire cryptomonnaie.

Cette idée de triplex et cette passion pour les bitcoins, Léa Veillette, qui est la fille de l’ancien entrepreneur en construction François Veillette, les a eues récemment, alors qu’elle venait de perdre son emploi. Elle a alors mis sur pied sa propre compagnie de consultation dans le domaine de la monnaie bitcoin.
«Au départ, ma fille a trouvé qu’il était tellement difficile de comprendre le fonctionnement des bitcoins qu’elle a décidé d’étudier le phénomène et d’ouvrir son propre bureau de consultation à Trois-Rivières. L’idée de construction d’un triplex nous est ensuite venue à tous les deux», soutient François Veillette, qui vient en aide à sa fille dans le dossier.
Ce fameux triplex, dont la construction doit débuter au mois de décembre prochain, devrait voir le jour en mai 2018 sur la rue de Sienne, dans le secteur Trois-Rivières-Ouest.
Fait particulier dans le dossier, grâce à ce projet-pilote, Léa Veillette pourrait devenir la première entrepreneure au Canada, et même aux dires de son père, la première en Amérique du Nord à payer en quasi-totalité ses fournisseurs en bitcoins. Chose qui ne semble pas avoir effrayé les fournisseurs outre mesure.
«On a un premier sous-traitant en main-d’œuvre qui va être complètement payé en bitcoins, car il est déjà d’accord. Jusqu’à maintenant, on a trois fournisseurs qui devraient aussi embarquer dans le projet. On a d’ailleurs déjà rencontré un entrepreneur qui veut absolument des bitcoins. Il n’était même pas au courant du projet et il voulait déjà embarquer», précise M. Veilette.
Ce projet-pilote n’a d’ailleurs pas effrayé la jeune femme, mais l’a plutôt stimulée à investir dans le domaine.
«Ça ne m’a pas fait peur. Je pense que si je ne l’essaye pas, je vais avoir des regrets. C’est plus un défi pour moi», avoue Léa Veillette.
Rappelons que le bitcoin est une monnaie virtuelle conçue en 2009. Contrairement aux devises physiques, notamment le dollar canadien, le bitcoin qui est immatériel n’est pas régi par une banque ou même, par le gouvernement, mais par des internautes.
La monnaie bitcoin sert, entre autres, à payer des services, des marchandises ou pour acheter d’autres devises. C’est désormais la cryptomonnaie la plus connue et acceptée par de nombreux sites web et boutiques.
Une monnaie virtuelle à déclaration obligatoire
Si le projet semble attrayant pour certains fournisseurs qui y voient une occasion de faire du profit avec les populaires bitcoins, certaines notions parfois méconnues doivent cependant être prises en compte.
«Il y a vraiment un engouement envers le bitcoin, car sa valeur fluctue énormément. Mais chaque fois qu’il y a une transaction, il y a un certain montant d’impôt à payer, donc si un fournisseur accepte de faire une telle transaction, il va devoir déclarer ce gain ou ce revenu et ça, peu de gens en sont informés», soutient Louis Roy, un associé de la firme de comptables du Québec, Raymond Chabot Grant Thornton (RCGT).
Un aspect toutefois bien connu et pris en compte par Léa Veillette dans ce dossier.
«Léa est allée de l’avant. Elle est notamment allée voir un fiscaliste et des avocats pour trouver une façon de déclarer de tels revenus», précise M. Veillette.
Bien plus que la construction d’un triplex
À la suite de la construction de l’immeuble, Léa Veillette souhaite par ailleurs vendre son immeuble à des acheteurs encore une fois par l’entremise de la monnaie bitcoin. Une tâche qui paraît plus complexe qu’elle ne l’est en réalité puisque plusieurs acheteurs de Montréal pourraient se manifester, estime François Veillette.
Le triplex n’est pas encore construit que Léa Veilette voit grand pour la suite des choses.
«Je veux créer un parc immobilier par la suite à Trois-Rivières avec une centaine de logements, notamment pour les gens qui sont entrés dans la société Bitcoins.»
Le bitcoin, avenir de la monnaie?
Bien que le phénomène de la cryptomonnaie peut sembler incertain pour plusieurs, même si le système de cryptage employé garantit en théorie la sécurité et la traçabilité des transactions, certains spécialistes y voient toutefois une occasion en or de remplacer la monnaie actuelle au cours des prochaines années.
«La cryptomonnaie, dont le Bitcoin est l’avenir, va éventuellement remplacer notre système de monnaie actuel puisqu’il crée un phénomène de rareté étant en nombre limité, ce qui fait en sorte que sa valeur va toujours augmenter», mentionne, Jean-Philippe Brochu, consultant de la firme QB solutions.
Un avis partagé par François Veillette. «Les bitcoins, c’est l’avenir. C’est d’ailleurs aussi important que l’arrivée d’Internet, car éventuellement, toutes les compagnies vont se convertir à cette technologie.»
Du côté de la firme RCGT, Louis Roy se montre un peu plus prudent face à ce possible avenir de la cryptomonnaie.
«On s’en va certainement vers la cryptomonnaie ou le digital comme le bitcoin pour les prochaines années. Toutefois, seul l’avenir nous le dira, mais comme tout placement, évidemment, il faut être prudent. Il y a donc un avenir pour cette technologie et si ce n’est pas le bitcoin qui fonctionne au cours des prochaines années, ce sera certainement une autre forme de cryptomonnaie.»

dimanche 19 novembre 2017


Le bitcoin bondit après que Square annonce que des utilisateurs de son appli pourront acheter et vendre la crypto-monnaie

Square, l'entreprise de paiement mobile fondée par Jack Dorsey, teste l'achat et la vente de bitcoins pour certains utilisateurs de sa plateforme Cash. 
L'annonce, rapportée par TechCrunch, a fait décoller les actions de Square à 41,80 dollars l'action peu après l'ouverture de Wall Street. Une partie des gains a été effacée dans la journée et le titre a clôturé à 40,66 dollars, soit une hausse de 2,3%. 
Le bitcoin était aussi dans le vert dans la journée. La crypto-monnaie, connue pour ses fluctuations de prix étonnantes, avait bondi de plus de 10% à 7284 dollars à 17h18 (heure de New York), d'après les données de Markets Insider. 
L'entreprise a déclaré que Square avait ajouté la fonction Cash, un concurrent de Venmo, parce que les utilisateurs en ont fait la demande. L'entreprise cherche toujours un moyen de rendre la fonction plus "rapide et facile" et la propose à un "petit nombre" d'utilisateurs de Cash, dit-elle. 
La nouvelle fonction permettra à Square de rivaliser avec les plateformes d'échange de crypto-monnaie comme Coinbase et Gemini.
Une étude par les analystes de Credit Suisse, Paul Condra et Mrinalini Bhutoria, a dit que cette démarche pourrait être un pas en avant pour l'entreprise, malgré certaines difficultés. Voici la déclaration de l'entreprise: 
"Étant donné la tendance de Square de s'adapter judicieusement aux nouvelles technologies, nous prévoyons qu'elle en fasse de même avec les achats en bitcoin. Nous pensons que le plus grand risque est la régulation, qui pourrait limiter la capacité à fournir le service ou l'interdire complètement. SQ est aussi confrontée à la liquidité et le risque de contrepartie puisqu'elle doit se procurer les bitcoins pour les utilisateurs soit en achetant à l'avance ou en utilisant un échange. Malgré ces risques, l'avantage pourrait être significatif si les crypto-monnaies devenaient plus répandues." 
L'annonce de Squares est le plus récent exemple d'une entreprise de services financiers classique qui s'intéresse aux opportunités de profit alors que la crypto-monnaie est en plein essor.
Simon Yu, CEO de StormX, une entreprise de technologie blockchain, dit que les nouvelles sont un "développement fantastique" pour l'écosystème de la crypto-monnaie. 
Il dit que ça sera "sans aucun doute un appel à l'action pour inviter d'autres entreprises progressistes à adopter la nouvelle économie phare."

mardi 14 novembre 2017

macrypto.fr




LES CRYPTO-MONNAIES PROMETTEUSES EN 2018


Les crypto-monnaies se démocratisent partout dans le monde alors que les paiements sur internet sont acceptés par de très nombreuses entreprises. Les crypto-monnaies sont en train de modifier les actifs de paiement et d’investissement, tout comme la façon dont les gens investissent dans l’or, l’argent, les parts de marché, l’immobilier, les fonds communs de placement de nos jours. De plus en plus d’investisseurs sont intéressés à investir de l’argent sur ces crypto-monnaies en 2017 et seront plus en 2018. Avec la demande accrue des crypto-monnaies ses prix ont beaucoup augmentés. Ici, j’ai sélectionné les Top 4 des crypto-monnaies qui pourraient avoir les meilleures augmentations à l’avenir.
Crypto Monnaies

LES MEILLEURS CRYPTO-MONNAIES À INVESTIR EN 2018


QU’EST-CE QU’UNE CRYPTO-MONNAIE & POURQUOI LES UTILISER ?

(Si tu sais déjà qu’est-ce qu’une crypto-monnaie, tu peux descendre plus en bas)
Les crypto-monnaies sont une forme d’argent conçue spécifiquement pour profiter de l’architecture d’Internet. Au lieu de compter sur une institution financière standard pour garantir et vérifier les transactions, les transactions des crypto-monnaies sont vérifiées ou « confirmées » par les ordinateurs des utilisateurs sur le réseau de la monnaie. Les ordinateurs qui vérifient les transactions reçoivent habituellement une petite quantité de monnaie en récompense. Le processus de réception des récompenses en échange de la vérification des transactions s’appelle «l’exploitation minière» (mining) et c’est la manière principale dont ces nouvelle monnaie son produite. L’exploitation minière fonctionne différemment pour les différentes devises.
Les crypto-monnaies sont une forme d’argent entièrement numérique, elles peuvent être utilisées de manière à ce que les monnaies ordinaires ne peuvent pas. Il y a plus de 5000 crypto-monnaies dans le monde en ce moment (2017), mais je vais sélectionner les quelques-unes des crypto-monnaies en fonction de moi et du plafonnement du marché, de la demande, de la portée future et de l’actif d’investissement de valeur.
Ce qu’il faut rechercher avant d’acheter ou d’investir dans les crypto-monnaies :
Les crypto-monnaies utilisent un certain nombre d’algorithmes différents et sont échangés de différentes façons. Voici les caractéristiques principales que vous devez considérer avant d’acheter ou d’investir dans les crypto-monnaies.
La capitalisation boursière et le volume quotidien de la négociation: la capitalisation boursière d’une crypto-monnaie est la valeur totale de toutes les pièces actuellement en circulation. La capitalisation boursière élevée peut indiquer une valeur élevée par pièce de monnaie et plus important que la capitalisation boursière est le volume quotidien de négociation des devises.
Méthode de vérification: l’une des principales différences entre les crypto-monnaies est leur méthode de vérification. La méthode la plus ancienne et la plus courante s’appelle la preuve du travail (POW). Pour obtenir le droit de vérifier une transaction, un ordinateur doit consacrer du temps et de l’énergie à résoudre un problème mathématique difficile. Le problème avec cette méthode est qu’il nécessite une énorme quantité d’énergie pour fonctionner. Les systèmes de preuve de mise en jeu (POS) tentent de résoudre ce problème en laissant les utilisateurs la plus grande part de la devise vérifier les transactions. Ces systèmes nécessitent moins de puissance de traitement pour fonctionner et réclament des vitesses de transaction plus rapides, mais les préoccupations liées à la sécurité impliquent que peu de pièces utilisent un système entièrement basé sur la mise en jeu.
Acceptation des détaillants: une crypto-monnaie n’est pas très utile si vous ne pouvez rien acheter avec elle. C’est pourquoi il est important de savoir qui et où elle est acceptée avant d’y investir. Certaines des crypto-monnaies sont largement acceptés comme le Bitcoin. Certaines crypto-monnaies ne peuvent être échangées que pour d’autres crypto-monnaies. Certaines pièces de monnaie ne sont tout simplement pas conçues pour être échangées contre des marchandises et sont construites à d’autres fins.

TOP CRYPTO-MONNAIES À INVESTIR EN 2018

Ci-dessous, j’ai partagé une liste des meilleures crypto-monnaies qui vaut la peine d’acheter, d’investir . Ces crypto-monnaies pourraient avoir un très bon rendement à l’avenir.

# 1 BITCOIN

Comme prévu, le Bitcoin est en haut de la liste. Il a été inventé par Satoshi Nakamoto à l’époque, c’était la seule monnaie virtuelle disponible sur le marché. Vous pouvez acheter 1 BTC en payant 3100.00 dollars américains (05 août 2017) car la monnaie virtuelle la plus coûteuse sur le marché est acceptée et légalisée dans de nombreux pays. Les mineurs de Bitcoin sont la clé de la sécurité du Bitcoin et les mineurs sont responsables de la création de nouveaux bitcoins. Mais garder votre Bitcoin en sécurité est la chose la plus importante à faire après l’achat de bitcoin.

# 2 ETHEREUM

Ethereum a un véritable atout. Sa plate-forme permet de créer un contrat intelligent qui fonctionne sur un réseau décentralisé. L’équipe derrière Ethereum est vraiment exceptionnelle, et ils font un excellent travail pour montrer le potentiel réel de l’Ethereum.
Outre l’équipe, le degré d’adoption d’Ethereum en ce moment est phénoménal. De nombreux développeurs travaillent sur des applications qui utilisent le potentiel des contrats intelligents, et si une crypto-monnaie peut la rendre grande, c’est Ethereum. Elle a déjà dépassé les 1000 pour cent au cours des derniers mois et cela pourrait bien se répéter au cours des prochains mois. Le potentiel de cette crypto-monnaie est très important. Ethereum est la seule crypto-monnaie estimée par les experts à pouvoir dépasser le plafond du marché Bitcoin dans un proche avenir.

# 3 RIPPLE

Ripple
Ripple est basé sur une base de données publique partagée, qui utilise un processus de consensus qui permet des paiements, des échanges et des envois de fonds dans un processus distribué. Ripple s’efforce de le garder gratuit pour toute sorte d’échange ou de commerce. Ils auront du mal avec des tiers, mais pourquoi se rendre à des tiers lorsque les fonctionnaires eux-mêmes proposent d’échanger sans frais. Ripple a réussi à adapter les grandes banques à leur système. Un professionnalisme et un développement de haute qualité sont mis en place dans cette start-up. Ils n’ont même pas essayé de stratégies de growth hacking; Assurez-vous d’investir avant qu’ils ne mettent en œuvre tout type de growth hacking .

# 4 MONERO

Monero est une crypto-monnaie open source, orientée vers la vie privée, qui a été lancée en avril 2014. Les développeurs impliqués ont introduit cette crypto-monnaie innovante sans en mettre de côté pour eux-mêmes, et l’équipe s’est appuyée sur des dons et la communauté pour développer davantage.
Pour ma part je vais rester prudent dans mes investissements et me concentrer dans les plus « connus », il y aura surement de bonne surprise et d’autre moins mais n’oubliez pas n’investissez pas des sommes que vous ne pouvez pas vous permettre de perdre.


Si vous désirez de l'aide dans le processus et j'ai aussi un outil extraordinaire pour le trading sans que vous ayez à rester des heures devant vos écrans d'ordinateur à surveiller le marché.  Un robot trading automatique.....ça vous tente?  

vendredi 10 novembre 2017


Publié le 8 novembre 2017
Journal Les Affaires
Par François Remy

L'envol du bitcoin, c'est le concours du plus idiot

IInestimable. La prouesse informatique derrière le bitcoin a énormément de valeur. La transparence, la décentralisation, l’inviolabilité, c’est le rêve d’Internet devenu réalité. Voilà une bonne raison pour acheter du bitcoin, me direz-vous. Et les gens en achètent, il suffit de voir l’envolée du cours, une croissance de près de 700% depuis janvier. En comparaison, l’action d’Apple enregistre «seulement» 51% de hausse sur la même période.

Et au moment d'écrire ces lignes, la devise électronique vient de toucher un nouveau record d'altitude à plus de 7879 $US (10020 $CA). Mais devrions-nous tous plonger dans les méandres des cryptomonnaies pour autant? Comme dirait le célèbre gestionnaire Peter Lynch, avant d’investir dans quelque chose, il faut savoir expliquer pourquoi à un écolier. Dans un langage assez simple pour que le gamin comprenne et assez rapidement pour éviter qu’il s’ennuie. Bref, bonne chance avec la «pièce numérique»!
Les voix dissidentes n’ont pas attendu la flambée des derniers jours pour s’élever contre le bitcoin. Dès son apparition, les plus réfractaires ont estimé que quitte à miser sur du vent, autant investir dans l’éolien.

Toutefois, les critiques visent désormais le piège émotif qui se referme sur les foules d’acheteurs. Le pouvoir d’attraction exercé par le bitcoin porte bien au-delà des clubs d’informaticiens et autres enfants spirituels des cypherpunks. Tout le monde en parle.
En un clic sur Google, où le premier résultat de recherche sera une pub invitant au trading, des particuliers comme vous et moi se retrouvent face à la tentation du pognon. L’illusion de l’argent facile. Pour quelques pièces, on peut s'offrir une miette du grand gâteau… 

«Des engouements superficiels qui relèvent de comportement mimétique, conduisent à une spirale haussière. On ne m’enlèvera pas de l’idée qu’elle est spéculative», partageait récemment Bruno Colmant, économiste belge de renom et directeur de la recherche macro pour la banque privée Degroof Petercam. 

Foi d’ancien président de la Bourse de Bruxelles, Burno Colmant insistait alors en rappelant que «pour (presque) chaque bitcoin acquis à prix d’or, il y a un vendeur qui encaisse des monnaies traditionnelles sonnantes et trébuchantes».

Piège à cons ?


C’est assez convaincant de se répéter que si la valeur du bitcoin ne cesse de monter en flèche, c’est parce qu’une bulle se forme, parce que le cercle vicieux happe de plus en plus de victimes consentantes. Quel autre élément pourrait sinon expliquer les 1000$US gagnés en une semaine?

«La couverture médiatique peut avoir une grande influence sur sa valeur, et ce, sur une courte période, sans qu’aucun organisme ou mécanisme officiel n’encadre cette variation», met en garde l’autorité des marchés financiers québécoise.

Avouons-le, les consommateurs ne recourent pas naturellement au bitcoin dans la vie de tous les jours, il n’y a pas de signe d’inflation, tous les criminels de la planète n’ont pas soudainement choisi de blanchir en bitcoin et le fait que son protocole, la blockchain, gagne en popularité dans le monde des affaires n’a que peu d’influence sur la cherté du BTC…

Péché capital(iste)


Le magazine The Economist pense voir plus clair, en appliquant une lecture toute simple à cette croissance effrénée du bitcoin: l’envie. Ou plus précisément, ce désir plus ou moins violent qui torture les admiratifs de la réussite d’autrui.



« Il n'y a rien de plus troublant que de voir un ami devenir riche »

«Il n'y a rien de plus troublant pour le bien-être et le jugement que de voir un ami devenir riche», écrivait l’historien des bulles, Charles Kindleberger.

Et The Economist de conclure que le bitcoin démontre la théorie du «greater fool».